La hausse des taux, bonne ou mauvaise nouvelle ?

La hausse des taux, bonne ou mauvaise nouvelle ?

Crédit immobilier : une hausse des taux profitable ou défavorable ?
Les taux de crédit dans l’immobilier ont récemment connu une hausse. Est-ce une aubaine ou un coup d’arrêt pour le marché immobilier ?

la hausse des taux des prêts immobiliers

la hausse des taux des prêts immobiliers

La hausse des taux de crédit immobilier n’est pas uniquement une mauvaise nouvelle. En effet, des spécialistes de l’immobilier ont estimé que le début de la remontée des taux d’intérêt d’emprunt et la fin de la baisse constatée dernièrement pourraient être un levier pour les acheteurs. Cela pourrait donc les encourager à accélérer leur projet d’acquisition afin de bénéficier des taux encore bas.

La remontée des taux de crédit immobilier: à la fois profitable et souhaitable

D’après des experts dans le domaine, cette hausse n’est pas un sujet d’inquiétude. Au contraire, ils perçoivent que cette augmentation des taux de crédit immobilier auprès des banques est encore limitée. De ce fait, cela n’affecte pas sensiblement le pouvoir d’achat des acquéreurs.
La majorité des banques et des institutions financières n’a pas encore appliqué cette hausse sur les prêts immobiliers réalisés auprès des particuliers. Par conséquence, ces acheteurs sont encouragés à accélérer au maximum leur projet d’acquisition de biens immobiliers.
Deux scénarios d’évolution des taux dans l’avenir ainsi que des analyses de leurs conséquences sont envisagées par les spécialistes en la matière pour permettre de suivre et de se projeter sur l’évolution du marché immobilier.
Au cours du premier scénario, les taux se stabilisent et stagnent sous la barre de 2% pour tout crédit immobilier qui s’étale sur 20 ans et ce, pendant 3 à 6 mois minimum. Il s’agit d’une situation à la fois souhaitable et probable.
Souhaitable, parce que lorsque les taux se stabilisent à un niveau toujours jugé faible, il ne cessera d’optimiser l’alimentation du dynamique du marché, notamment l’ouverture aux primo-accédants, les intentions d’achat, etc. Toutefois, dans ce contexte, la remontée des prix qui commence à se matérialiser est interrompue, surtout dans les grandes villes.
L’avantage de ce type de scénario c’est qu’il est aussi possible de maintenir des volumes élevés de transactions en entretenant la liquidité du marché. N’hésitez pas à cliquer sur ce lien pour obtenir plus d’informations concernant la hausse du crédit immobilier.
Ce scénario est probable du fait que les conditions macro-économiques mondiales surtout celles de l’Europe sont encore mauvaises et demandent toujours des taux relativement faibles afin de soutenir une activité maussade. C’est aussi parce qu’un retour à la baisse est encore peu crédible dans le court terme à cause des incertitudes liées aux résultats de l’élection du président des États-Unis.

Une hausse pour ralentir le marché

Une hausse pour ralentir le marché

Une hausse pour ralentir le marché et faire baisser le volume des transactions

Ce second scénario touche essentiellement la hausse des taux de crédit immobilier de plus de 2% qui pourraient aller jusqu’à plus de 2,5% dans les six mois à venir. Cette hausse résulte à prime abord un ralentissement du marché de l’immobilier avec un enregistrement d’une baisse importante du volume de transactions. Il est moins probable que le premier et paraît plus plausible.
Dans ce contexte, les experts de l’immobilier ne cessent d’inviter les futurs acheteurs à ne jamais se précipiter. Toutefois, ils pensent que les conditions du marché actuel sont favorables aussi bien pour les acquéreurs que les vendeurs. Ils conseillent aussi à ceux qui ont déjà envisagé une opération de la concrétiser sans pour autant repousser leur décision concernant l’attente d’une clarification de la situation sur le plan international.
Lisez cet article pour plus de détails.

Enrayer l'augmentation des prix immobiliers

Enrayer l’augmentation des prix immobiliers

La fin de la réduction des taux de crédit immobilier a dans ce contexte comme but d’enrayer l’augmentation des prix observée au niveau de certains marchés : comme à Paris où les prix ont augmenté d’environ 4% et à Lyon 6%.

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